
Aurélie s’apprête à devenir maman pour la seconde fois. Mais après 9 mois de grossesse, c’est le drame, elle perd Clotilde à la naissance. Le monde s’écroule, la tristesse se mêle à la colère. Que s’est-il passé ? Comment une grossesse idéale se transforme-t-elle en cauchemar ? Comment survivre au décès de son enfant ?
A travers son livre baptisé « Un hiver au printemps », Aurélie Drivet raconte le drame qu’elle a vécu. Elle dénonce également un personnel hospitalier débordé et une certaine déshumanisation de l’hôpital. Au fur et à mesure des chapitres, elle raconte l’accouchement, l’horreur, la stupeur, sa lente reconstruction et sa quête de vérité. L’écrivaine souhaite lancer l’alerte sur la mort des bébés à l’accouchement, un sujet encore bien tabou malheureusement aujourd’hui.
Après m’être entretenue avec elle dans le cadre d’une interview pour Youbecom, j’ai appris que l’auteure n’a pas été très soutenue par le personnel hospitalier suite à cette grande perte. Elle n’a pas bénéficié immédiatement d’un soutien psychologique et n’a plus eu aucune nouvelle du centre après avoir quitté son lit. Il semblerait bien que l’hôpital ait encore du travail à faire dans le suivi de ses patients…
C’est un sujet qui est malheureusement peu connu. Personne ne veut penser qu’un bébé puisse mourir à sa naissance. Le fait que cette maman n’ait pas pu bénéficier du soutient approprié, qu’il n’y ait pas eu de suivi, est juste chocant.
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Je suis pas mal chamboulée par ton résumé ayant vécu plus ou moins la même chose il y a 7 ans. Ses mots me parlent énormément. Je note le titre en tout cas 🙂
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😦 Je suis vraiment désolée pour toi…
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C’est gentil, merci (je ne voulais vraiment pas plomber tes commentaires avec ça). Mais je suis contente d’avoir découvert ce titre, en tout cas, et ton blog par la même occasion 😃
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Ne t’inquiète pas pour ça, je suis contente de pouvoir échanger avec d’autres lecteurs, même autour de sujets… tristes… et de faire découvrir des ouvrages.
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