
Après un drame familial, Jane cherche un nouvel endroit où vivre. C’est ainsi qu’elle tombe sur une maison ultra-moderne signée par un architecte de renom : le One Folgate Street. Mais pour louer ce bien, il faut montrer patte blanche et répondre régulièrement à une série de questions plus bizarres les unes que les autres. Contre toute attente, Jane est sélectionnée pour devenir la nouvelle locataire. Les jours passent et la jeune femme apprend au fur et à mesure de ses découvertes que la précédente habitante, qui lui ressemble d’ailleurs étrangement, y a trouvé la mort. Jane décide de mener l’enquête.
Le résumé de « La fille d’avant » m’a plu d’emblée. Le récit avait tout l’air d’un thriller psychologique et l’histoire semblait originale : une maison idéale mais bourrée d’interdits (vous rendez-vous compte, les coussins ne sont même pas admis) et des tests à gogo pour mieux vous cerner mais qui vous laissent bien songeurs. Ecrit par JP Delaney, le roman est prenant dès le début et bien que l’on passe d’un personnage à l’autre, on se rend vite compte des similitudes entre Emma et Jane. Le milieu de l’histoire est un peu plus creux selon moi ; il y a en effet quelques passages que l’on aurait pu sauter sans problème, et puis l’on revient dans le feu de l’action. La maison n’est pas hantée, non, elle est particulière, tout comme son propriétaire, et ses locataires, soyons honnêtes. Outre son histoire qui, comme je vous l’ai dit, sort de l’ordinaire, « La fille d’avant » est un roman réussi dans le sens où je ne m’attendais pas à certaines révélations. Sachez que d’après la 4e de la couverture, il sera adapté prochainement au cinéma. J’ai hâte de voir cette maison sur grand écran !
J’ai hate de voir ce qu’il donne en film en effet!
J’aimeJ’aime