
Malgré ses nombreux diplômes scientifiques, Zibal se retrouve vendeur de macarons à Orly, pour le compte de Ladurée. Alors qu’une nouvelle journée somme toute ordinaire commence, Alice débarque sur son stand. Elle est jeune, belle et aveugle. Elle est accompagnée par son labrador, Jules, qui ne la quitte pas d’une semelle. Alice doit prendre l’avion jusqu’à Nice pour se faire opérer. Objectif : recouvrir la vue. L’intervention est un succès mais pour le chien, c’est la catastrophe. Le voilà devenu inutile. Affecté à un autre aveugle, aux opposés d’Alice, Jules déprime, puis fugue afin de retrouver Zibal. Mais l’arrivée du toutou dans sa vie va être tout sauf un cadeau. Zibal décide alors de rechercher Alice.
« Jules » est un roman signé Didier van Cauwelaert, qui a fait beaucoup de bruit lors de sa sortie en librairie. C’était la comédie du moment à lire, mais j’étais à l’époque refroidie par une autre lecture de l’auteur, « L’évangile de Jimmy ». Au fur et à mesure des mois, j’en ai finalement entendu beaucoup de bien, et c’est devenu l’une des lectures du Book Club créé sur Facebook.
La première partie du roman, qui se déroule à l’aéroport m’a beaucoup amusée. Et puis s’il s’agit à la base d’une comédie, Didier van Cauwelaert évoque des sujets beaucoup plus lourds : l’homosexualité, puisqu’Alice est alors en couple avec Fred (une femme, oui), la maltraitance animale, et les pouvoirs extra-sensoriels des chiens. Ici, Jules est un chien guide d’aveugle, mais saviez-vous que certains chiens avaient la capacité de prévenir les crises d’épilepsie ? Sachez d’ailleurs que l’auteur a écrit une suite, baptisée sobrement « Le retour de Jules ». Peut-être la lirai-je à l’occasion…
Je dois encore lire la suite aussi 😉
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Ce n’est pas le genre de romans que j’ai l’habitude de lire mais après avoir lu ta chronique je me dis : pourquoi pas ? ^^
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Si jamais tu le lis, n’hésite pas à me donner ton avis 🙂
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