Arthur Costello, médecin urgentiste, vient d’hériter d’un phare. Son père l’a cependant mis en garde : il doit ni le vendre, ni détruire la porte qui a été murée. Mais Arthur désobéit et pénètre dans la pièce interdite. Une fois à l’intérieur, il a le tournis, des palpitations, ne se sent pas bien… et se réveille un an plus tard, nu comme un ver dans une église. Arthur ne le sait pas encore, mais il est en train de subir la malédiction du phare, et cela pour les 24 prochaines années. Au cours de sa vie, il va pourtant faire la rencontre de Lisa, une jeune femme qui n’a qu’un rêve : devenir comédienne. Mais comment tomber amoureux quand le temps nous échappe ?
Nombreux sont les lecteurs à avoir attendu le nouveau roman de Guillaume Musso, intitulé « L’instant présent ». Le côté thriller était à nouveau mis en avant, tant sur la quatrième de couverture que parmi les critiques. A première vue, l’ouvrage semblait plaisant. Eh bien vous savez quoi, je l’ai dévoré !
Le premier chapitre nous fait tomber de haut. Il est cruel. L’histoire commence lorsque le personnage principal est encore enfant. Il s’agit juste d’une scène, mais pas des moindres. Et puis au second chapitre, on retrouve notre héros, près de vingt ans plus tard, adulte, assagi, avec quelques problèmes familiaux cependant. Il y a cet héritage qui lui tombe dessus, un phare abandonné, rempli de mystères. Viennent ensuite ce côté surnaturel, avec cette impression de ne vivre qu’une journée par an, cette passion amoureuse qui meurt à petit feu, cette morale sous-entendue qui vous fait comprendre qu’il faut justement vivre « L’instant présent » et ce dénouement qui, comme à son habitude, nous surprend toujours. Vous avez beau faire toutes les suppositions possibles que vous voulez au cours de votre lecture, vous n’imaginez pas un seul instant ce final. Et c’est sans doute ça qui me plaît chez Guillaume Musso, sa capacité à raconter des histoires parfois invraisemblables mais qui vous font tomber de votre chaise ; et puis ses citations omniprésentes à chaque début de chapitre. Je n’ai qu’une chose à dire : vivement le prochain !
Dis donc, mais tu as piqué ma curiosité. J’ai adhéré à la couverture dès le début moi aussi. Et ta chronique me plait beaucoup. J’ai très envie de découvrir l’histoire.
Dis donc, mais tu as piqué ma curiosité. J’ai adhéré à la couverture dès le début moi aussi. Et ta chronique me plait beaucoup. J’ai très envie de découvrir l’histoire.
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