Comme si c’était toi

Comme si c’était toi

Anna, dont le vrai prénom est Aureliana, a trente ans et un job de rêve dans un musée prestigieux. Ce qui lui manque : un homme. Pour ce faire, elle multiplie les rencontres sur les sites Internet, mais sans grand succès. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’Anna a une revanche à prendre sur son passé. Adolescente, elle était le vilain petit canard du lycée. Ses camarades se moquaient d’elle. Pire, le garçon dont elle est était follement amoureuse lui a infligé la pire humiliation de sa vie au bal. Elle s’en souvient encore aujourd’hui, il s’appelait James. (Mal)heureuse coïncidence, ce dernier refait surface, et il a réalisé un virage à 180°. James est toujours aussi beau, mais il est également drôle et prévenant. Et Anna ne va pas pouvoir s’en débarrasser si facilement, puisqu’elle va devoir travailler main dans la main avec lui, sur un projet qui lui tient à cœur.

J’avais adoré le premier roman de Mhairi McFarlane, qui s’intitulait « Parce que c’était nous ». L’auteure reprend ici les mêmes codes pour séduire ses lectrices : une couverture rappelant étrangement la précédente, près de 500 pages, un titre qui sonne de la même manière et une histoire romantique. Eh bien ça fonctionne ! Malgré quelques longueurs, on est pris dans l’histoire d’Anna. On comprend tout à fait son point de vue et sa réticence à travailler avec James, après ce qu’il lui a fait endurer au lycée. De toute façon, on sait comment ça va se terminer entre ces deux-là. « Comme si c’était toi » n’est pas très surprenant. Mais cela ne fait rien, parfois on aime connaître la fin dès le début, et ce n’est pas pour autant que le livre nous déplaira. Et puis, je crois que pour certain(e)s, c’est justement tout l’atout des comédies romantiques : 99% possèdent une happy end, et c’est ce qui fait croire que l’amour existe. Même s’il n’est pas à notre portée.

2 réflexions sur “Comme si c’était toi

  1. « Et puis, je crois que pour certain(e)s, c’est justement tout l’atout des comédies romantiques : 99% possèdent une happy end, et c’est ce qui fait croire que l’amour existe. Même s’il n’est pas à notre portée. » J’approuve. Et il fait bon lire un de ces livres dans les jours où on a envie de se vider la tête et de se laisser rêver ! Je note ce titre dans un coin, pour un de ces quatre

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