
Une semaine sur deux, Pacco a la garde de Maé, sa fille au caractère bien trempé. A travers diverses situations du quotidien, Pacco fait part de sa vie de papa poule, des bêtises de sa fille, des réflexions sur l’amour et la vie. Une bande dessinée autobiographique qui mêle humour et tendresse, dans laquelle Maé s’intéresse davantage à ses nouveaux jouets qu’au divorce de ses parents.
J’avais eu l’occasion de découvrir plusieurs scènes de « Une semaine sur deux » via la parution de planches dans un quotidien régional durant l’été. Et puis j’ai découvert que Pacco avait un blog, et qu’il avait déjà publié deux tomes portant ce titre. Alors j’ai voulu tester, voir si c’était drôle et surtout si ça valait le coup. On a affaire à un papa divorcé, dessinateur, qui tente tant bien que mal de s’occuper de sa fille et de lui inculquer les choses de la vie. Très complices, les deux personnages ont leur propre vision des choses ce qui, dans certaines situations, prête à sourire. Pacco, c’est un peu Margaux Motin en version masculine (d’ailleurs les deux illustrateurs sont amis). On a affaire au même type de BD cartonnée, à la même façon de présenter les planches, et à un style épuré et soigné. Grossomodo, je dirai que c’est de la chick-lit pour hommes ! (Les filles apprécieront tout de même, je ne dis pas le contraire). Comme c’est du vécu, il est facile de se mettre dans la peau des personnages. « Une semaine sur deux » ou le quotidien d’une famille monoparentale, dans lequel beaucoup de personnes se reconnaîtront sans aucun doute…
Margaux Motin au masculin ça ne peut être que sympa et drôle… je suis curieuse tiens !
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Ca a l’air très sympa ! Je le lirai à l’occasion 🙂 Tu me l’as bien vendu ^^
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