Hazel a 16 ans et est atteinte d’un cancer. Incurable. Son traitement actuel lui permet d’arrêter l’évolution de la maladie, mais pour combien de temps ?  En assistant à une réunion de soutien, entourée d’autres malades, Hazel fait la connaissance d’Augustus, 17 ans, en rémission. Entre les deux adolescents, l’entente est immédiate, et l’amour flotte dans l’air. Mais Hazel ne veut pas s’engager dans une relation, car son temps sur Terre est compté. L’histoire d’amour va finalement avoir lieu et embarquer  les deux jeunes gens dans un projet farfelu mais rempli de vie.

« Nos étoiles contraires » de John Green, c’est un roman qui fait le buzz sur la toile depuis des mois. J’ai découvert une pluie de critiques élogieuses sur les blogs littéraires, des gens se prenant en photos avec le roman sur les réseaux sociaux, appris qu’une adaptation cinématographique était annoncée, alors comment résister ? J’avais l’impression de passer à côté de quelque chose en ne le lisant pas. Et puis l’occasion s’est finalement présentée.

J’ai découvert un roman fabuleux, poétique, pas morose pour un poil mais quand même empreint de tristesse. Avec « Nos étoiles contraires », j’ai eu envie de découvrir moi aussi l’Iepen à Amsterdam, d’écouter The Hectic Glow, de lire « Une impériale affliction » et de dire « OK » à mon âme sœur. Je suis passée du rire aux larmes ; j’ai été bouleversée par ma lecture. Vraiment, comme jamais auparavant. J’ai reçu une vraie claque. « Nos étoiles contraires » est un chef d’œuvre qui nous invite à profiter pleinement de la vie sans nous donner de leçons. Un roman cinq étoiles dont on ne ressort pas indemne. Un hymne à la vie, à l’amour et à l’instant présent.

« Le monde n’est pas une usine à exaucer les vœux »