Cabot-caboche

Le Chien est moche, trop moche pour pouvoir être adopté par une famille, alors il est laissé pour mort au fin fond d’une décharge. Sur place, il fait la rencontre d’une vieille chienne, surnommée Gueule Noire. Son conseil ? Sortir rapidement de ce trou à rat, trouver une maîtresse et bien la dresser. Le Chien se met alors en quête de la personne idéale, tombe sur une petite fille, Pomme, et décide que ce sera elle et personne d’autre.

J’avais déjà bien aimé l’adaptation du roman « Quelqu’un à qui parler » par Grégory Panaccione, je poursuis donc sur ma lancée avec « Cabot-Caboche », une histoire tirée cette fois-ci d’un ouvrage de Daniel Pennac. Les couleurs des deux couvertures se ressemblent et c’est ainsi que l’on reconnait le trait de l’illustrateur. « Cabot-caboche » ferait un scénario idéal pour un film familial : un chien laid qui se retrouve sous l’emprise d’une petite peste qui n’en fait qu’à sa tête. 

On se prend d’affection pour celui qui s’appellera désormais « Le Chien », que l’on suit dans de drôles de péripéties. Car si la fillette a un coup de cœur pour ce toutou à la drôle d’allure, ce n’est pas le cas de ses parents, « Le Grand Musc » et « La Poivrée » qui n’ont qu’un objectif en tête : le rayer de la carte. Entre humour et drame, voilà une bande dessinée qui pourrait faire la joie des petits comme des grands !

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