
Très jeune, Alexandra Winslow est abandonnée par sa mère et élevée par son père, qui lui transmet sa passion dévorante pour les romans policiers. Mais celui-ci meurt prématurément et la jeune fille est alors recueillie par des religieuses au sein du couvent local. Contre toute attente, Alexandra y trouve sa place et se met à écrire à son tour des polars sanglants. A 19 ans, elle termine son premier thriller. Mais pour percer dans le domaine de l’édition, l’auteure prend un pseudonyme masculin. Le succès est immédiatement au rendez-vous.
Si on m’avait dit un jour que je lirai un roman de Danielle Steel… Je suis pleine de préjugés vis-à-vis de cette auteure très prolifique et pourtant, ma maman a réussi à m’encourager à lire son dernier roman, persuadée que celui-ci me plaira. Et forcément, elle avait raison… Cette histoire qui nous plonge dans le monde impitoyable de l’édition a suscité mon intérêt ! Une jeune auteure qui se cache derrière un nom masculin pour publier les pires horreurs ne pouvait que m’intriguer ! D’autant plus que derrière ce jeu d’identité, cette double vie n’est pas sans conséquence sur le travail et les relations amoureuses de la jeune femme. Rivalité, jalousie, solitude, bien qu’elle soit célèbre, Alexandra se sent parfois bien seule, voire parfois rabaissée. Il lui faudra du temps et les bonnes rencontres pour arriver à dépasser ce stade. Voilà un roman qui plaira à coup sûr à tous les bibliophiles !
Je note, cette plongée dans l’édition ayant l’air pleine de mordant !
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