A l’université, Bliss Edward, 22 ans, est étudiante en théâtre, l’une de ses grandes passions. A ce jour, elle hésite encore entre être sur scène ou plutôt du côté de la régie. A la veille de la nouvelle rentrée, Bliss fait la connaissance de Garrick, un jeune homme de son âge, très séduisant. Entre eux, le courant passe immédiatement. La soirée se termine chez Garrick, mais au dernier moment, Bliss invente une excuse bidon pour mettre les voiles, car elle panique. En effet, Bliss n’est jamais passée à l’acte, et cela l’obsède. Si cette aventure aurait pu être sans lendemain, et l’humiliation, vite oubliée, il n’en est rien. Car Garrick n’est autre que le nouveau professeur de comédie.
« Ce si joli trouble » était sur ma liste depuis quelque temps déjà, mais j’avais d’autres priorités. Lors de mon achat, je me suis d’ailleurs demandée si je ne m’étais pas fait avoir, car il était notifié « tome 1 ». Plus de peur que de mal, dans le sens où les tomes suivants s’intéressent à d’autres personnages de l’histoire ; moi, je préférais me concentrer sur celle de Bliss.
Le récit de Cora Carmack m’a fait penser dans un premier temps au début de… Grey’s Anatomy. Eh oui, car tout comme Meredith Grey (si vous suivez la série), Bliss rencontre et s’amourache de son prof, sauf que là il ne s’agit pas de chirurgie avec le docteur Mamour mais de théâtre avec Garrick. « Ce si joli trouble » est une lecture légère et divertissante, une douce romance. Point d’érotisme au menu même si les premières pages le laisseraient penser, mais il s’agit d’un Pocket Jeunesse, et je suis persuadée que chez Pocket, ils savent ce qu’ils font ! Seul petit bémol que j’ai trouvé à l’histoire : l’actrice principale, alias Bliss, et plus précisément son obnubilation pour le sexe, dont elle parle TOUT le temps. Si au début on peut comprendre que cela la travaille, ça devient presque lassant d’en entendre parler à chaque phrase.
Le fait que tu compare la base de ce livre à Grey’s anatomy me donne trop envie de le lire du coup !! 🙂
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