Paris, 1934 : Violette Nozière, une très belle jeune femme, est accusée d’avoir empoisonné ses parents. Pour se défendre, elle raconte avoir voulu se venger de son père qui abusait d’elle. Quant à sa mère, elle a survécu, mais ne semble pas prête à lui pardonner cet acte. A 17 ans, Violette avait pourtant tout pour elle : des parents aimants, la beauté, l’amitié, le succès auprès de la gent masculine. Mais la jeune femme use de son pouvoir de séduction. Elle se prostitue, fait la fête et pique de l’argent dans la tirelire familiale, sans jamais être prise de remords. Violette est avant tout une mythomane profiteuse et égoïste qui ne voit dans la vie que son propre intérêt.
« Violette Nozière, vilaine chérie » est signée Camille Benyamina et Eddy Simon. Les auteurs se sont inspirés d’un personnage ayant réellement existé. Il s’agit en effet d’un des plus célèbres faits divers de l’époque. Surnommée l’empoisonneuse de la rue de Madagascar, Violette Nozière secoue la France entière dans les années 1930, et c’est ça qui m’a attiré de suite dans cette bande dessinée : c’est qu’il s’agit d’une histoire vraie. Qui plus est, j’adore le crayon et les couleurs employées pour relater les événements. Au récit, s’ajoute un dossier avec des images d’archives, qui nous raconte le fait divers dans les moindres détails et bien sûr, l’épilogue, tout aussi intéressant. Une BD que je recommande à tous les amateurs du genre !
Je ne suis pas fan de roman en général mais si c’est inspiré de la réalité, ça pourrait me plaire !
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Ce n’est pas un roman, c’est une BD.
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