Retrouve-moi à Whisperwood

Londres, 1939 : La Seconde Guerre mondiale éclate. Hazel, 14 ans, et sa soeur Flora, 5 ans, doivent quitter la capitale pour la campagne anglaise, où elles seront davantage en sécurité. Elles laissent derrière elles leur maman, ne sachant pas quelle famille les adoptera. Pour rassurer Flora, Hazel invente un univers qui n’appartient qu’à elle : un royaume magique du nom de Whisperwood.

1960 : Hazel travaille désormais dans une boutique de livres anciens, lorsqu’elle tombe sur un ouvrage baptisé « Whisperwood et la rivière étoilée ». C’est la stupéfaction. Hormis Flora, personne ne connait son existence, d’autant plus que la petite fille a disparu avant même la fin de la guerre. Probablement noyée dans la Tamise, son corps n’a jamais été retrouvé. L’espoir se trouverait-il derrière l’auteur du livre ?

Entre Histoire et conte de fées, « Retrouve-moi à Whisperwood » nous embarque non seulement dans deux époques différentes, mais également dans deux mondes : le réel et l’imaginaire. En utilisant un fait historique, qui est celui du placement des enfants durant la guerre, Patti Callahan Henry invente une intrigue captivante où il est question d’une sœur perdue, d’un royaume fantastique et d’un livre rare. Mêlant les genres à la perfection, l’autrice parvient également à nous surprendre là où on ne s’y attend pas. Un roman qui mérite grandement sa place dans la liste des best-sellers du New York Times.

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