
Alice et Aymeric sont mariés, ensemble depuis vingt ans. Ils n’ont jamais eu d’enfant et cela n’est pas faute d’avoir essayé. Alice a désormais peur d’une chose : la routine. Alors qu’elle imagine prévoir dans les prochaines semaines un séjour en Toscane pour y remédier, le destin a décidé de prendre les choses en main beaucoup plus rapidement : Aymeric est victime d’un accident de la route et se retrouve dans le coma. Va-t-il s’en sortir ? Et si oui, quelle sera sa vie ?
Un scénario, trois possibilités : c’est ce que nous propose Carène Ponte avec son roman « Prendre la vie comme elle vient ». Et c’est une idée originale qui m’a bien plu ! Cette façon de faire fera taire ceux qui disent que la littérature feel-good est gnan-gnan, joyeuse ou encore cousue de fil blanc. A nous de choisir donc l’issue de ce roman et de nous faire notre propre idée quant aux événements qui en découleront. Car l’autrice nous met en garde, au début comme à la fin du livre : » La vie est toujours plus forte que les drames ». Et je ne dirai pas que j’ai aimé ce roman parce que le personnage principal est bibliothécaire. Cela n’a absolument rien à voir !

J’ai eu un peu de mal avec ce livre et surtout la façon dont il est fait.
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Je comprends que ça puisse être destabilisant !
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