

Du 5 au 7 juin, la capitale alsacienne a fait péter les bulles. Pour la 8e année consécutive, Strasbourg organisait son festival européen de la bande dessinée « Strasbulles », et avait pour parrain, l’auteur de la BD « Lou », j’ai nommé Julien Neel. Une aubaine pour les amoureux du 9e art. Ledit festival se déroulait principalement sur la place Kléber, ainsi que dans la salle de l’Aubette, le tout sous un ciel bleu magnifique.
Au programme durant les trois jours : des concerts, des rencontres avec des auteurs, des séances de dédicaces, des expositions et des battles de dessinateurs.

Côté expo, le public pouvait découvrir « En route vers les étoiles », « Un vent nouveau » et les tribulations du Marsupilami. Outre les rencontres avec les auteurs et donc les stands des maisons d’édition, des bouquinistes spécialisés dans la bande dessinée, ainsi que des collectionneurs se sont emparés des lieux.

Pour ma part, je dois vous avouer que même si le beau temps était au rendez-vous et que le bonheur fut trouvé chez les libraires d’occasion, j’ai été un peu déçue par l’événement. Le premier jour, les auteurs ne se bousculent pas au portillon ; je n’en ai pas vu plus d’une dizaine et je n’en connaissais aucun, même de nom… J’ai vu des personnes réaliser des petites battles de dessins, mais devant des classes. L’animation n’était pas vraiment au rendez-vous et la foule non plus pour cette première journée. Cela manquait vraiment d’entrain. Une escapade littéraire courte mais intense.
Mais il faut revenir aujourd’hui ou demain !!
Nous y étions hier soir pour l’inauguration, qui a terminé par un concert dessiné, c’était très sympa.
Ce matin, mon homme et mon aîné y sont retournés, Zébulon a eu sa dédicace de Sobral après 1 h 20 de queue !!
J’aimeJ’aime
Arf, j’y suis allée en déplacement professionnel, je vis à plus de 100km…
J’aimeJ’aime
Un festival à faire absolument !
J’aimeJ’aime