
Les années 1960, en France. Louis, un petit garçon rondouillard, vit dans un orphelinat où il est élevé par des jésuites. Son côté un peu bouboule et ses problèmes de vue n’incitent pas vraiment les parents en recherche d’un enfant à se pencher sur son cas. Et pour ne rien arranger, Louis est un peu le souffre-douleur de ses camarades…Lors d’une de ses escapades, l’enfant va découvrir l’univers du cirque Marcos, qui plante ponctuellement son chapiteau dans la ville. Et là, la vie de Louis s’illumine. Non seulement, il se passionne pour cet art, mais en plus, il fait la connaissance de Clara, la dompteuse d’éléphants de la troupe. Au fil des années, Clara devient sa confidente, son amie, puis son amante…
Gros gros coup de cœur pour « La tristesse de l’éléphant » de Nicolas Antona et Nina Jacqmin. Publiée aux éditions Les Enfants Rouges, cette bande dessinée m’a fait frémir. Je me suis vraiment passionnée pour l’histoire du pauvre Louis. Le petit garçon n’a vraiment pas de chance, mais heureusement la vie va finir par lui sourire, en la personne de Clara. L’amitié va se transformer en amour et le cirque va devenir un rendez-vous annuel incontournable.
Mais, vous vous êtes sûrement rendu compte que dans le titre figure le mot « tristesse ». Alors bien sûr, ce dernier fait référence à l’enfance de Louis, mais aussi à son avenir. Car si le garçon va se transformer en un homme épanoui, il va aussi devoir faire face au deuil. Je ne vous en dis pas plus. Lisez cette BD ! En plus, le papier et le dessin sont tout simplement magnifiques !
ça m’a l’air d’être une très jolie histoire 🙂
J’aimeJ’aime
Oui ça l’est 🙂
J’aimeJ’aime
je note 😉 elle a l’air sympa
J’aimeJ’aime
Merci pour ce joli retour sur notre album, nous sommes ravis que les émotions aient été au rendez-vous! Même si les histoires d’amour finissent mal en général, l’amour véritable est éternel.
J’aimeJ’aime
Je suis entièrement de votre avis 🙂 Merci pour ce petit commentaire, cela fait toujours plaisir d’avoir un échange avec les auteurs d’une histoire qu’on aime.
J’aimeJ’aime